Volontariat de solidarité internationale (VSI) : un engagement fort aux côtés de l’Ordre de Malte France

« J’ai entendu parler de l’Ordre de Malte France pendant mon Master à l’IRCOM à Angers, explique Constantin, 24 ans. Un salarié du siège de l’association est venu nous présenter les actions menées par l’association en novembre, et de fil en aiguille, je me suis dit que ce serait intéressant de partir faire un VSI avec cette structure. »

Implanté dans 26 pays d’Afrique, d’Asie du Sud-Est et du Moyen-Orient, l’Ordre de Malte France y envoie, tous les ans, une vingtaine de bénévoles et de volontaires dans les 7 hôpitaux ou les 6 centres de santé qu’il gère directement. Ces bénévoles et volontaires peuvent venir de différents horizons (médical, management, gestion de projet, communication…).

Un VSI, pour quoi faire ?

Quand on demande à Constantin l’intérêt qu’il a trouvé dans le fait de partir en tant que VSI, au lieu de rechercher un emploi à proprement parler, la réponse fuse : « Je pense que le VSI présente l’avantage de pouvoir se lancer sur une mission professionnalisante très vite, même si on a moins d’expérience au départ. On a vite de vraies responsabilités. » À Djougou, Constantin occupera les fonctions d’assistant de direction, aux côtés de Romane, une camarade de l’IRCOM, qui, elle, sera assistante logistique.

En lien direct avec les équipes, les VSI seront donc au cœur de l’action : ils vivront de nombreuses situations qui leur permettront d’acquérir une grande expérience pour la suite de leur parcours.

Une bonne préparation et un accompagnement en continu

Afin de se préparer au mieux à la mission qui les attend, les bénévoles et les volontaires de solidarité internationale bénéficient systématiquement d’une information dans les semaines qui précèdent leur départ. Ainsi, en février, Constantin et Romane sont venus passer du temps au siège de l’Ordre de Malte France, dans le 15^e arrondissement de Paris. « Nous avons été briefés sur nos missions respectives, mais aussi sur les aspects sécuritaires sur lesquels nous devrons rester vigilants durant toute notre mission, et tout cela en lien avec la Délégation Catholique pour la Coopération (DCC) », précise le futur VSI.

Bonne mission à tous les deux !